On retrouve la diction savoureuse de Marie de Ramonin à travers cette petite fable béarnaise tirée des archives des éditions PER NOSTE d’Orthez.
La traduction suit le texte. On pourra remarquer quelques prononciations locales de Marie par rapport à un écrit très voisin de son parler. On s’en rend compte car, à cette époque, la graphie béarnaise était plus phonétique que l’occitan actuel.